« Ce n'est pas un accompagnement partiel. Ce support va permettre la réintégration de ces familles dans la société haïtienne », font savoir les responsables.
Après plusieurs rencontres et des études sur les cas, les membres de la commission de réintégration ont procédé à la sélection de deux (2) nouvelles familles haïtiennes parmi les plus vulnérables sur un total de 10 (dix) familles. Une somme de 22500 gourdes a été confiée à chaque famille pour implanter une entreprise en Haïti afin d'éviter les mauvais traitements en République dominicaine.
On a aussi constaté deux (2) anciennes bénéficiaires dans la salle. Elles ont parlé du progrès qu'elles ont eu avec l'argent que l’organisme de défense des droits humains les a données. Et maintenant elles n'ont plus envie de retourner en République dominicaine.
Plusieurs participants à la cérémonie de remise des fonds aux bénéficiaires disent espérer que d’autres institutions travaillant dans le domaine de la migration emboîtent le pas en accordant de support financier aux rapatriés afin de les permettre de créer leur propre entreprise.
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