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dimanche 5 mai 2019

La COJNE plaide pour de meilleurs traitements en faveur des travailleurs de la presse

Depuis 1993, la date du 3 mai a été proclamée journée mondiale de la liberté de la presse par l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies sur la recommandation de la 26e session de la conférence générale de l'UNESCO. En Haïti cette liberté est l'oeuvre d'une grande lutte et de sacrifices consentis par les journalistes  qui ont bravé des dangers d'antan.


 Pour marquer cette date, la Confédération des Journalistes du Nord-Est (COJNE) a réalisé une conférence de presse ce vendredi 3 mai 2019 au cours de laquelle elle a attiré l'attention du public en général et de l'État en particulier sur l'ensemble des difficultés que confrontent les journalistes dans l'exercice de leur fonction.

Suite à des actes d'agression et d'intimidation, le maigre ou l'absence de salaire pour les journalistes, l'accès restreint à l'information et la perte de 15 place d'Haïti dans 5 ans seulement dans le classement mondial de la liberté de la presse, l'association estime que ces situations ont de grandes conséquences sur le droit et la liberté de la presse en Haïti particulièrement dans le département du Nord-Est.

En guise de solution, la COJNE plaide en faveur d'une justice forte où les règles démocratiques puissent être appliquées pendant qu'elle invite les confrères et consœurs à investir d'avantage dans leur formation afin d'être plus performants dans leur travail.

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