Maismy-Mary Fleurant |
Il faut ajouter que ce sont les pays qui ne polluent pas, ceux qui sont les moins industrialisés, les plus pauvres, les plus vulnérables comme les pays du sahel africain et les petits États insulaires qui sont les premiers et les plus durement touchés par le réchauffement climatique avec des sécheresses, des inondations, la montée inexorable des eaux qui entrainent les famines et la misère.
Aujourd'hui, on ne veut plus de la poudre aux yeux. On ne veut oplus de ces grandes déclarations sans engagement réel. On ne veut plus de discours creux. Les pollueurs doivent payer. Ils doivent payer pour réparer le tort causé, et non payer pour continuer à polluer. Il faut une vraie coopération internationale basée sur le respect et la reconnaissance des torts causés avec la mise à disposition des pays pauvres de moyens pour faire face au désastre.
Il faut surtout que les pollueurs mettent en place des politiques pour prévenir d'autres dommages à l'environnement, pour s'attaquer aux causes du réchauffement, pour investir dans des énergies vertes, pour innover, changer les habitudes, les comportements, proposer des solutions viables et sérieuses.
Ils ne viendront pas pleurer comme nous après nous avoir plongé dans le drame. Ils ne viendront pas prendre des initiatives aussi puériles que tapageuses. ils ne viendront pas proposer un simple placebo pour une planète terre malade de leurs excès.
Ils ne viendront pas pleurer comme nous après nous avoir plongé dans le drame. Ils ne viendront pas prendre des initiatives aussi puériles que tapageuses. ils ne viendront pas proposer un simple placebo pour une planète terre malade de leurs excès.
On ne peut pas l'accepter. On ne l'acceptera pas.
Texte: Maismy-Mary Fleurant
Source: Facebook
Fanm yo ap Kale koyo you sot
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