La Croix Rouge Haïtienne (CRH), le Programme National de Sécurité Transfusionnelle (PNST) et la Jeune Chambre Internationale (JCI) ont organisé une
journée de collecte de sang à Ouanaminthe, ce dimanche 25 mai 2014.
Comme les responsables l'ont souhaité, beaucoup de donneurs ont présenté dans les deux points de collecte: l'hôtel Parc Oasis, à Sance et VDH, à la rue Saint Pierre.
Malheureusement, la majorité des jeunes ne sont pas qualifiés, regrette le président de JCI-Ouanaminthe, M. Jean Antony Bazil. C'est ce qui explique la maigre recette de 22 pochettes pour cette journée.
Le responsable du PNST/MSPP pour le département du Nord-Est, Bélizaire Jean-Baptiste a fait savoir que avant d'accepter un don de sang, des professionnels de la santé évaluent le donneur. La majorité des dons sont refusés à cause que les donneurs sont trop maigres. Donc, on ne peut les extraire une pochette de sans ne pas courir le risque de mettre leur vie en danger.
Malgré ce faible recette, M. Bélizaire n'a pas caché sa satisfaction. Le plus important, pour lui, ce n'est pas la quantité de pochette rempli, mais, plutôt, c'est la volonté des jeunes pour donner un peu de sang pour sauver la vie de ceux qui en ont besoin.
Comme les responsables l'ont souhaité, beaucoup de donneurs ont présenté dans les deux points de collecte: l'hôtel Parc Oasis, à Sance et VDH, à la rue Saint Pierre.
Malheureusement, la majorité des jeunes ne sont pas qualifiés, regrette le président de JCI-Ouanaminthe, M. Jean Antony Bazil. C'est ce qui explique la maigre recette de 22 pochettes pour cette journée.
Le responsable du PNST/MSPP pour le département du Nord-Est, Bélizaire Jean-Baptiste a fait savoir que avant d'accepter un don de sang, des professionnels de la santé évaluent le donneur. La majorité des dons sont refusés à cause que les donneurs sont trop maigres. Donc, on ne peut les extraire une pochette de sans ne pas courir le risque de mettre leur vie en danger.
Malgré ce faible recette, M. Bélizaire n'a pas caché sa satisfaction. Le plus important, pour lui, ce n'est pas la quantité de pochette rempli, mais, plutôt, c'est la volonté des jeunes pour donner un peu de sang pour sauver la vie de ceux qui en ont besoin.
Pour la responsable du poste de transfusion sanguine pour le département
du Nord-Est de la CRH, Blaise Lorvely, faire le don de sang est un
geste d'amour et de générosité qui se fait librement.
Les jeunes ont pris leur responsabilité, à l'occasion de la fête des
mères, pour ne pas laisser mourir les mères en salle d'accouchement pour
manque de sang, poursuit-elle.
L'objectif de 200 pochettes par mois, fixé, pour le département du
Nord-Est, est loin d'être atteint.
Nord-Est Info
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