Vue partielle de l'école nationale des filles de Ouanaminthe | par Oxilas Guerlin / de Nord-Est Info |
Lors d'une conférence de presse en date du 14 janvier 2019, les grévistes, en colère, ont été catégoriques. «Nou kanpe travay depi 11 janvye 2019 la jis kaske yo reponn ak revandikasyon nou. Si yo pa tande kri nou n'ap fèmen kote pou n’ fèmen, n'ap soude kote pou n’ soude epi nou pral depoze kle yo nan pakè Fòlibète a. Si yo pèsiste n'ap kanpe tout lekòl nan komin Wanament», ont-ils menacé.
Plus loin, ces professeurs dénoncent les autorités départementales et communales qui n'auraient rien fait pour les accompagner dans leurs démarches. «Où sont les sénateurs, les députés et le directeur départemental de l'éducation nationale», se demandent les grévistes avant d'avancer que nous n'avons pas de dirrigeants dans ce pays.
Soulignons que le problème d'irrégularité des professeurs au niveau du ministère l'éducation nationale est national, cela mérite une solution globale.
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